5 avril 2008
Le droit au mauvais goût
Oui aux jeux de mots, même de mauvais goût, même foireux. Si on laisse faire cette police de la pensée qui arrange beaucoup de nos gouvernants, il n'y aura plus jamais de Pierre Desproges, ni de Coluche, ni de Charlie Herbo, ni même, bientôt, de journalistes...